mardi 27 avril 2010

Opération co pilote vous dites !



Devenir co pilote l'instant d'une course pour le rallye Karukera en octobre prochain ça vous branche? Votre incontournable magazine Méka Mag avec l’appui logistique course et la 205 Gti groupe A de l’écurie Eric pommier racing vous offrira bientôt sur un plateau, cette bien belle opportunité à travers un jeu qui sera mis en place très prochainement. Un seul conseil : se procurer très vite le magazine Méka Mag du mois de Mai, vous comprendrez mieux de quoi il s'agit. Alors prêts?

dimanche 25 avril 2010

Ah les filles et l’automobile !












Vous m’auriez sans doute relégué au rang des gens coincés et surtout hypocrites, si, dans mon blog je n’avais pas fait allusion, ne serait ce qu’une fois à la gente féminine. Je ne suis pas de cette catégorie de personnes qui assimile systématiquement la voiture à la femme, même si en effet, il y a ces nombreux clichés qui lui colle à la peau. Il y a pourtant une réalité mondiale. On aurait en effet du mal à apprécier par exemple, un salon automobiles sans ces brûlantes et sexy hôtesses qui habillent de façon glamour chaque stand de marques différentes. On a beau être passionné de belles mécaniques, notre regard n’échappe pas non plus à quelques belles carrosseries en chair et en os. Alors rincez vous les yeux, public jeune allez jouer à la NITENDO. Après tout ce spectacle n’est réservé qu’aux auteurs détenteurs de permis de conduire. Un jour votre tour viendra. C’est promis…

NB: Mesdames et Messieurs à vous de voter . A vous d'élire la plus belle carrosserie. J'attends vos commentaires.

samedi 24 avril 2010

Bonne chance Patrice !





Patrice Deriemont vous le savez déjà, a choisi des épreuves nationales du Championnat de France pour se faire plaisir, ce depuis l’an dernier. Nous n’aurons donc pas le plaisir de voir sa Seat du groupe F2000 cracher ses 200 chevaux en Guadeloupe. Mais nous sommes de tout cœur avec ce pilote qui a choisi de défendre en effet les couleurs de la Guadeloupe Outre Atlantique avec un programme bien chargé. A commencé par le rallye de Lozere qu’il disputera les 1er et 2 mai prochains. Patrice Deriemont s’envolera donc très prochainement pour essayer sa monture dans la belle ville de Montpellier chez Blasco Auto Sport. Puis il entamera l’exercice des reconnaissances du 26 au 28 avril. Suivra bien sûr la course où là, le pilote donnera le meilleur de lui même dans une auto revue et corrigée et surtout re décorée aux couleurs de la Guadeloupe pour bien démontrer que la passion pour le rallye chez nous est bien d’actualité.

Bonne chance à toi Patrice !

J’ai rencontré le TRT, le Toy Rally Team.





Les saisons automobiles s’enchaînent, et chaque nouvelle année offre l’occasion de voir se constituer des teams. Le TRT, le Toy Rally Team, à l’initiative des Pardo avec la complicité des Vaitilingon, est aujourd’hui une nouvelle façon de repenser le sport automobile. Point fort de cette nouvelle écurie : une Toyota Celica GT Four 185, l’auto idéale pour gonfler le plateau automobile, redonner ainsi du piment, à la saison 2010.

Si le TRT est la structure qui permettra donc à Frédéric Pardo (le pilote) et Bruno Vaitilingon (le copilote) de rentrer dans la danse de la compétition , elle donnera également l’occasion aux partenaires, aux fans, aux proches, aux amis bref à tout ceux qui sont immaculés TRT, de vivre en famille, une saison qui plus est annoncée intense. Objectif avoué alors : porter haut les couleurs du team. Assurer par ailleurs la notoriété d’une auto qui a fait sa réputation au championnat du Monde , Didier Auriol au volant , ou plus localement de nous rappeler le bon vieux temps. Souvenez-vous en effet, c’était l’époque où Christian Boureau était au pilotage.

Aujourd’hui c’est à une nouvelle génération que la mission d’assurer un tel challenge a été confiée. Mais là, avons nous du soucis à nous faire quand on connaît les moyens humains qui seront mis à disposition de l’équipage pour avoir mission gagnée. Quoiqu’il en soit avec une récente victoire à la course de côte des Mamelles, la messe est dite : le TRT pa vini pou joué !

Attention: photos à ne pas utiliser sans autorisation de son auteur (surtout pour une utilisation à des fins commerciales) sous peine de poursuites judiciaires. Droits d'auteur réservés

mardi 20 avril 2010

J’AI ESSAYÉ POUR VOUS : LA LEXUS ISF





Avec au programme du vendredi 26 février, l’essai de la Lexus IS F , je savais que ma journée se résumerait à un seul mot : adrénaline. C’était peu de la dire ! A peine installé au volant, il a fallu tout de suite faire comprendre à cette machine que seul le maître était encore moi. Quand j’ai pressé la fonction start , j’ai tout de suite compris qu’il valait mieux « se la jouer cool ». Car quand vous démarrez, toute une horde de lions hurle sous le capot. Et derrière un son magique sort des quatre échappements . Vous vous dites génial , l’essai promet d’être musclé. Vous avez en effet a dompter mine de rien, près de 423 chevaux sauvages. Pour cela tout vous permet d’exploiter l’auto au maximum. Mais attention cet exercice n’est pas donné à tout le monde. Une notion de pilotage est indispensable. A bord il y a tout pour vous sentir à l’aise, de bons sièges baquets, une très bonne boite séquentielle avec bien sûr palettes au volant. Pour rappel , on accélère avec celle de droite, on rétrograde avec la gauche et surtout on freine avec la grosse pédale gauche quand la bête s’emballe. N’ayez crainte, là encore ca freine.

423 chevaux , quelle puissance !

C’est sauvage, ça accélère grave, ça monte dans les tours, c’est impressionnant, c’est jouissif. Excusez le langage mais l’ISF est une maîtresse mécanique idéale pour des fantasmes sans égal. Elle est de surcroît très belle, très sexy et sport à la fois. Mais tout cela a un prix. 89 000 euros et alors … Quatre adultes embarqués peuvent jouir du plaisir de ce monstre du bitume. Bien sûr, vous me direz et les radars ? C’est simple enlevez le mode sport, rouler sur la boîte mode drive, le plaisir n’est pas le même certes mais rouler en Lexus IS F quel privilège . Merci à l’équipe de Carmo Toyota . Je ne suis pas prêt d’oublier cette rencontrer avec sa majesté Lexus.

Essai effectué par E.Po

Anselme Montout Pilote auto Signe particulier : 71 ans. Qui dit mieux ?



Il y a 71 ans, un homme naissait pour devenir plus tard dans sa vie un pilote automobile. Et pas des moindres. A l’époque pour avoir été une figure emblématique de la discipline, Anselme Montout se fait appeler « le feu ». Les années sont très vite passées à l’image du chronomètre qui défile en rallye ou en course de côte, sans pour cela que la passion du bougre ne prenne de rides. Pour preuve, le 18 avril 2010, de la liste des 33 engagés, le nom d’Anselme Montout est bien inscrit. Et malgré une armada de jeunes jouant déjà la relève de la discipline, le « Feu est là, parmi tout ce beau petit monde, sans complexe, toujours heureux d’endosser sa combinaison. Résultat des course lors du briefing, un tonnerre d’applaudissements retenti dans la montagne pour souhaiter au vieux loup de l’asphalte un joyeux anniversaire.

Dimanche, le visage de l’homme est marqué. Il traduit un peu d’anxiété à quelques minutes du départ. C’est bien normal car pendant les cinq montées du programme, « le vieux briscard doit dompter près de 300 chevaux dissimulés dans sa belle Mitsubishi Lancer Evo 9. 17 h15 fin de la journée. En conclusion, le pilote effectue ses cinq courses contre la montre. Tout se passe à merveille. Anselme, encore une fois réussit, l’exploit d’inscrire à son cahier des charges une nouvelle course et pas n’importe laquelle : la course de côte Nationale des Mamelles, l'unique dans le calendrier de compétitions de la Guadeloupe.

C/C des Mamelles : « F » Pardo plus solide , Olé !









Pour son retour à la compétition et surtout pour une première sortie sur sa belle Toyota GT Four 180, Fréderic Pardo a sorti le grand jeu pour la course de côte des Mamelles le 18 avril dernier. Voilà ainsi la seule façon pour ce pilote, d’afficher d’entrée ses prétentions pour ce championnat 2010. Edmond Bhiki, Philippe Ninou, Jean-Pierre Vilmen, Stéphane Nègre, le savent désormais, depuis en fait ce fameux dimanche , scénario d’une bien belle journée en décibels majeures. Frédéric Pardo avec cette belle victoire surprise devient –il donc le pilote dans le collimateur de la concurrence ? Vraisemblablement oui. Frédéric Pardo est un pilote averti et cela ne date pas d’hier. Celui ci fait indubitablement preuve d’une grande faculté d’adaptation quelque soit le type de l’auto . C’est étonnant. Traction, propulsion , monoplace et aujourd’hui 4 roues motrices, « El toro » assure car tant qu’il y a l’ivresse de la compétition. La victoire aux Mamelles en est la preuve d’autant plus qu’en face, la concurrence n’était pas venu lui faire de cadeaux. Et de grosses pointures il y en eut de toute part. La plus grosse dimanche se nommait Edmond Bhiki, seule pilote kit car a être survolté pour tenter de gagner. Car côté monoplace Thierry Lebrazidec , vainqueur à Caféière une semaine avant était très vite « out », victime d’une sortie de route. C’est donc à coup de secondes qu’ « el hombre » et le « ziendien » se sont livrés bataille. Bref du grand spectacle qu’il ne fallait pas manquer. Surtout quand, à la dernière montée de classement Frédéric Pardo enfonça le clou avec un chrono de 1’53’’71 contre 1’54’’70 pour Edmond Bhiki (temps de référence signé lors de la deuxième montée de classement). Première victoire donc pour « F » Pardo et probablement pas la dernière car il y a en vue désormais le rallye nord Basse-Terre en mai prochain. Et on le sait , une Toyota dans cette configuration, c’est du gâteau, qui plus est pour son pilote très à l’aise dans ce type d’exercice.

CLASSEMENT SCRATCH

1-Frédéric PARDO (Toyota Celica) 1’53’’71

2-Edmond BHIKI (Peugeot 306 kit car) 1’54’’70

3-Philippe NINOU (Mitsubishi Lancer) 1’56’’42

4-Stéphane NEGRE (Mitsubishi Lancer Evo 9) 1’57’’21

5- Jean-Pierre VILMEN (Citroën C2 Super 1600) 1’57’’90

Vainqueur du Groupe A : Frédéric PARDO

Vainqueur du Groupe N : Roger PROMENEUR (Mitsubishi Lancer)

Vainqueur du Groupe F 2000 : Vincent PARDO (Citroën Saxo)

Vainqueur du Groupe CM : Max BERVILLE (Formule France)

Mention Bien : Quentin CHAILLY (2ème F2000)

Grégory BUCCHOLZER (2ème groupe CM)

samedi 17 avril 2010

Que se passe t-il dans la tête de Frantz Pradel ?



Absent de la course de côte de Caféière, absent de la « Nationale » qu’est la course de côte des Mamelles, on est en droit de se demander ce qui se passe au Gwad Racing Team. Il y a peut-être la pilule non encore digérée suite au titre de champion perdu à l’issue du rallye Karukera, faute de vigilance et de concentration d’un co pilote trop pressé de brandir la coupe de champion 2009. Quoiqu’il en soit, le calendrier automobile 2010 sans Frantz Pradel, il y a comme une saison amputée d’une de ses meilleures têtes d’affiche et donc bof bof côté effectif. A moins que Frantz Pradel ne veuille nous gratifier de sa présence uniquement en rallye cette année. Si c’est cela, faisons preuve de patience car la belle Mégane et l’incomparable sonorité qui sort de l’échappement , c’est du bonheur sur mesure. Si il s’agit d’un problème mécanique, que le médecin Yves Pineau s'empresse d’opérer la « Maxi ». Si c’est un problème de budget, que les partenaires jouent le jeu car ils miseront sur un bon cheval. Si c’est personnel, alors saches Frantz que si tu ne cours pas cette année, ton équipe et toi même allez nous manquer. Allez on se dit que ce n’est qu’une mauvaise passe et que le moral sera prochainement au beau fixe. A bientôt l’artiste .

Sacrés Baccovich et Brousseau !






Jouer la carte de l’originalité en sport automobile, n’est pas donné à tout le monde. Sortir d’un garage situé Outre Atlantique des voitures plutôt qualifiées d’atypiques, c’est presque sortir un lapin de son chapeau. Encore que ce tour de magie est devenu rédondant. Mais demandez à Oleg Baccovich et maintenant à Laurent Brousseau de vous étonner, ils ont ce pouvoir en effet de vous ramener des autos de courses au format plutôt étonnant. Si je vous dis donc Formule France, machines dotées d’un moteur Ayabuza de chez Suzuki ! A moins d’avoir eu la chance d’aller en Métropole sur certains circuits célèbres, vous me direz : « jamais entendu parler de ce type de véhicule» .

L’an dernier souvenez-vous à la course de côte de Boromée à Pointe Noire, vous n’avez pas été victime d’hallucinations. Vous avez bien vu un joujou au premier abord. Mais en prêtant bien l’oreille, vous vous êtes bien rendu compte, décibels en bruit de fond, qu’il s’agissait d’une vraie voiture de course.

Aux dires des deux pilotes, elles sont joueuses et donc très délicates à piloter mais le plaisir est assuré. Oleg Baccovich l’an dernier s’est offert une belle 7ème place au classement scratch. Dimanche 11 avril à Caféière, c’est Laurent à son tour qui a imposé sa Formule France « ouverte », à la sixième place, remportant le groupe et la classe. Oleg aurait peut être pu espérer mieux sans sa figure acrobatique réalisée lors de la dernière montée de classement. Mais 10 ème ce n’est pas mal du tout. Et puis tirons un coup de chapeau à un homme dans l'ombre, Hervé Lanssens le préparateur, toujours au petit soin pour ces deux petits bolides.

Bonne nouvelle, tout comme Oleg et Laurent, vous pouvez goûter aux mêmes sensations car ces petits bolides sont proposés en location uniquement pour les courses de côte. Un coup de fil au 0690.49.54.20 suffit et le tour est joué. Pas sérieux s’abstenir. Reste au programme du calendrier les courses de côte de Boromée, de Dolé et de Bananier. A vos téléphones donc. La course, c’est un pied incomparable. On imagine qu’une journée à piloter ces drôles d’engins doit être un souvenir qui reste certainement gravé à vie. Demandez à Laurent, il vous en dira plus.

C/C Caféière : Logique victoire de Lebrazidec ?







Si la victoire d’une monoplace est logique en course de côte, selon le pilote au volant bien sûr, rien n’est aussi sûr quand les conditions météorologues sont de la partie.

C’est bien le pilote Thierry Lebrazidec, qui, le 11 avril a remporté la course de Côte de Caféière à Deshaies, 27 ème édition, mémorial Roland Pradel, en 56’’50 . Et l’on peut saluer ce monsieur bien bas, ce, pour bien des raisons. Premièrement parce que celui ci s’était promis de mettre une croix sur les épreuves de Guadeloupe tant l’attitude des organisateurs de l’ASAG, il y a deux ans, ne fut pas un exemple de sportivité. Enfin bref. Thierry Lebrazidec n’est pas rancunier et c’est tant mieux. Et donc sa monoplace, cette fameuse Orma de 300 chevaux, principale rivale pour l’occasion de la March de Max Berville, (oui le sextuple champion de la Guadeloupe était de retour ), ne pouvait que relever le suspense. Certes le moteur BMW a trahi le pilote Peugeot Sport Guadeloupe d’entrée, dès la deuxième montée de classement. Lebrazidec lui, a eu a déjoué l’ennemi numéro 1 en course de côte pour les monoplaces : la pluie. Mais en fin calculateur, Thierry Lebrazidec a joué rapide et précis entre les gouttes pour s’imposer devant premièrement la « grosse Mitsu » de Philippe Ninou, deuxièmement devant également la « Maxi 306 » d’Edmond Bhiki. Celui-ci trahi par une stratégie de course trop basée sur la grosse attaque. Conséquence : un freinage intempestif avant « le petit pont » et des secondes ridiculement laissées sur l’asphalte. Ne parlons pas des vitesses excessives au détriment d’un pilotage coulé . Paramètre extrêmement important pour jouer d’efficacité pour les trajectoires… surtout sur le parcours technique de la course de Côte de Caféière. En résumé, rien de sert de rouler vite et donc façon brouillon. Il faut surtout penser placement de l’auto pour assurer une bonne relance . Leçon à retenir pour tous les jeunes loups qui ont effectué leurs premiers tours de roues à Caféière

Naissance d’une nouvelle race de pilotes ?

L’essentiel n’est pas de venir gagner surtout quand on en a pas le potentiel mécanique. Il faut avant tout se faire plaisir a souvent rappeler le champion d’Europe Martiniquais Simon Jean-Joseph. On a pu découvrir ce dimanche 11 avril, des têtes inhabituées à sonner la charge de la cavalerie. Bienvenue donc dans la grande famille automobile à Jean-Marie Chateauneuf (Citroen Saxo), Paul Télémaque (Citroën saxo), Brian Fassio (Renault Clio RS). Avec du roulage, de la patience, du travail, de l’assiduité, de l’humilité et le budget qui va avec, gageons que cette nouvelle race parviendra à faire comme Thierry Lebrazidec, un jour pourquoi pas : remporter une édition de Caféière. Ou alors accrocher à son palmarès le groupe F 2000 comme l’a si bien démontré Valery Califer. Car là encore il s’agit d’une bien belle performance. Chaque chose en son temps… L’avenir vous le prouvera , fougueuse jeunesse

Fin d'une belle aventure audiovisuelle !!!


Quand la une Guadeloupe il y a 9 ans, m'a contacté pour redonner des couleurs à cette chaîne, j'ai accepté le challenge en venant avec une valise chargée de bonnes intentions . Journaliste de presse écrite (journaliste à France-Antilles pendant 7 ans), je savais pourtant la mission en télévision délicate. Comme j'ai toujours tendance à me booster avec ma phrase fétiche qui dit que "je suis le meilleur parce que j'ai confiance en moi", nul doute que j'eus à cette époque, le mental gonflé à bloc. Ainsi, au fil des années sont apparues sur le petit écran, quelques productions et non des moindres pensées, étudiées, mises en forme et diffusées sur la Une Guadeloupe : Plan d'O magazine de la mer, Auto Route magazine sécurité routière et environnement automobile, Plan d'O spécial TGVT, Couleurs Guadeloupe, Moteurs magazine de l'automobile et bien sur le célèbre et incontournable Plein Pot, le magazine des sports mécaniques, jusque là jamais inégalé. Plein Pot pour information aurait soufflé sa 10 ème bougie en 2011. Mais la réalité de la conjoncture économique, paroles de notre PDG, nous a rattrapé. pour preuve, cette mire de barre qui s'est transformée depuis un mois, en un triste écran noir. Eh oui la mauvaise nouvelle, c'est qu'en effet la Une Guadeloupe n'émettra peut-être plus d'ici quelques semaines. Comprenez donc mon amertume ! J'écris et j'ai la gorge qui se noue. En tous les cas je demande à tout mon public fan de Plein pot de m'excuser pour cette interruption brutale et définitive du programme des sports mécaniques. J'en profite pour le remercier pour son entière fidélité pendant toutes ces années. En espérant retrouver l'énergie nécessaire pour remettre la machine en marche, je souhaite à tout ce petit monde de continuer de croire dans les télévisions locales. Pour ma part j'espère sincèrement que ce n'est qu'un simple au revoir...